Simulateur de droits de succession
Estimez vos frais de succession en 3 étapes
Grâce au simulateur Nalo, estimez vos droits de succession, suite au décès d’un proche, en fonction du montant hérité et de votre lien de parenté.
Pour réaliser cette simulation, vous devez estimer la valeur de votre patrimoine.
Attention, ce simulateur ne donne qu’une idée approximative des droits de succession à prévoir, lesquels peuvent être plus ou moins complexes à calculer en fonction de la situation patrimoniale.Les informations saisies lors de cette simulation ne sont ni conservées ni enregistrées.
Nous estimons un montant indicatif pour vous, gratuitement et sans engagement
Vous pouvez avoir jusqu'à
1 200€ de droits de succesion avec Nalo
Cette simulation est établie à titre indicatif, en fonction des éléments fournis.
Elle n'a pas de valeur juridique et ne constitue ni un engagement, ni un conseil fiscal.
Nos conseillers privés vous accompagnent
Un service 100 % digital, un conseil 100 % humain.





Les dispositifs pour réduire votre succession
Plusieurs dispositifs peuvent s’avérer très efficaces pour réduire les impôts qui seront dûs par vos héritiers lors de votre succession. Dans ce simulateur nous en envisageons trois :

L’assurance-vie
Qui contrairement à son nom est un placement et non une assurance. Les sommes placées en assurance-vie jouissent d’un cadre successoral très avantageux. Cliquez ici pour en savoir plus.
La donation
Qui permet, si elle est réalisée 15 avant votre décès, de donner jusqu'à 100 000 euros par enfants sans fiscalité. Notez que vous pouvez aussi envisager une donation à vos petits enfants.
La création d’une Société Civile Immobilière (SCI)
Qui peut permettre de mieux organiser votre patrimoine durant votre vie et le transmettre à moindre coût, notamment votre patrimoine immobilier.
Total des droits de succession
29 583 €
Succession (hors assurance-vie)
- Patrimoine net : N/A €
- Abattement par héritier : N/A €
- Assiette taxable par héritier : N/A €
- Impôt dû par chaque héritier : N/A €
Assurance-vie
- Épargne en assurance-vie : N/A €
- Abattement par héritier (bénéficiaire) : N/A €
- Assiette taxable par bénéficiaire : N/A €
- Impôt dû par chaque héritier : N/A €
Cette simulation est une indication non contractuelle.
Si vous souhaitez une estimation précise et obtenir des conseils afin de réduire vos droits de succession, vous pouvez être rappelé par un expert en gestion de patrimoine.
Comment réduire vos droits de succession ?
1 - L’assurance-vie
Économies potentielles
29 583 €
En maximisant les avantages de l’assurance-vie, vous pourriez économiser jusqu’à N/A € en plaçant N/A € vers un contrat d’assurance-vie.
NB : L'assurance-vie est un placement, l'argent que vous placez n'est pas bloqué. En plus de vous faire économiser des droits de succession, l'assurance-vie vous permet de faire fructifier votre épargne. Faites une simulation de placement en assurance-vie ici !
L’assurance-vie vous permet de profiter de plusieurs avantages :
- les montants placés sont exclus de votre succession ;
- chaque héritier (bénéficiaire de l’assurance-vie) bénéficie d’un abattement de 152 500 €, sauf si les versements ont été effectués après les 70 ans du souscripteur ;
- le barème d’imposition de l’assurance-vie est réduit.
Important : pour profiter de ces bénéfices de l'assurance-vie, il faut effectuer vos versements avant 70 ans.
2 - La donation
Économies potentielles
29 583 €
En effectuant une donation de N/A € à chacun de vos héritiers, vous pourrez obtenir une économie d'impôt de N/A €.
Tous les 15 ans, il est possible d'effectuer une donation défiscalisée, dans la limite de :
- 100 000 € pour vos enfants ;
- 15 932 € pour vos frères et soeurs ;
- 7 967 € pour vos neveux et nièces ;
- 31 865 € pour vos petits-enfants et cousins.
Attention : les donations défiscalisées ne sont possibles que tous les 15 ans. Si votre décès intervient moins de 15 ans avant la dernière donation, les avantages fiscaux de votre donation seront déduits lors de votre succession.
NB : La « donation Sarkozy » (don familial de sommes d’argent) permet de donner, en plus des abattements habituels, jusqu’à 31 865 € par donateur et par bénéficiaire, tous les quinze ans, aux descendants (enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants) ou, en l’absence de descendance, à des neveux ou nièces.
Vous souhaitez être accompagné pour optimiser votre succession ? Un expert vous rappelle.
3 - La Sci
Économies potentielles
29 583 €
En créant une SCI (Société Civile Immobilière) pour y abriter votre patrimoine immobilier (N/A €), vous pouvez espérer une réduction de droit de succession de l'ordre de N/A €.
La SCI présente deux avantages :
- elle offre une réduction de la base imposable de 10 % à 15 % (grâce à la décote des parts sociales) ;
- elle évite la déliquescence du patrimoine familial en écartant l'indivision.
Attention : la création d'une société civile immobilière est un acte complexe qui nécessite d'être accompagné par un expert du patrimoine. Vous pouvez être rappelé par un de nos conseillers.

Sommaire
Simulateur de droits de succession
Préparer la transmission de son patrimoine soulève souvent des questions complexes : combien mes héritiers devront-ils payer ? Quels biens sont imposables ? Et comment réduire les droits de succession ? Le simulateur Nalo vous permet d’obtenir une estimation simple et rapide de ces droits, tout en comprenant les mécanismes essentiels de la succession en France.
Pourquoi utiliser un simulateur ?
Le calcul des droits de succession dépend de nombreux critères : la valeur du patrimoine transmis, le lien de parenté avec les héritiers, l’existence d’abattements fiscaux ou encore la part des placements réalisés via une assurance-vie.
Sans outil d’aide, ces éléments sont difficiles à combiner. C’est là qu’intervient le simulateur Nalo.
Conçu pour accompagner les épargnants dans leur réflexion patrimoniale, il permet de :
- visualiser rapidement le montant indicatif des droits à payer selon la situation ;
- comprendre l’impact des abattements et du lien familial ;
- intégrer l’assurance-vie dans la simulation ;
- identifier les leviers d’optimisation (donations, répartition du patrimoine, etc.).
L’objectif n’est pas seulement de connaître un chiffre, mais de mieux anticiper les conséquences fiscales de la transmission de son patrimoine.
Comment fonctionne le simulateur de succession Nalo ?
L’outil repose sur une méthode progressive, accessible à tous, même sans connaissance fiscale.
En trois étapes, il permet de simuler une situation concrète tout en expliquant les notions clés de la succession.
Étape 1 – Lien de parenté et nombre d’héritiers
Le premier critère déterminant concerne le lien entre le défunt et chaque héritier.
Le simulateur prend en compte les principales catégories d’héritiers (enfants, conjoint, frères et sœurs, neveux, etc.), car la fiscalité varie selon ce lien de parenté.
Le nombre d’héritiers influe également sur la répartition du patrimoine et, donc, sur le calcul des droits.
Cette étape permet d’intégrer les règles de dévolution successorale, telles que définies par le Code civil et le Code général des impôts, qui fixent les abattements et les barèmes applicables à chaque catégorie d’héritier (sources : service-public.fr, impots.gouv.fr).
Étape 2 – Estimation du patrimoine financier, immobilier et assurance-vie
Le simulateur vous invite ensuite à estimer la valeur globale de votre patrimoine :
- patrimoine immobilier : résidence principale, biens locatifs, terrains ;
- patrimoine financier : comptes-titres, livrets, placements en bourse ;
- assurance-vie : capitaux détenus sur un ou plusieurs contrats.
Étape 3 – Résultat indicatif et précautions
Une fois les données saisies, l’outil affiche un résultat indicatif : le montant estimé des droits de succession pour chaque héritier.
Ce résultat repose sur les barèmes officiels définis par l’administration fiscale française. Le simulateur ne remplace toutefois pas un conseil patrimonial personnalisé : il offre une estimation à but pédagogique, permettant d’éclairer les grandes tendances de votre situation.
Nalo recommande ensuite, en cas de situation complexe (plusieurs héritiers, démembrement, patrimoine important, succession internationale…), de prendre contact avec votre notaire ou l’un de nos conseillers.
Celui-ci pourra affiner la stratégie et vous accompagner dans une éventuelle optimisation successorale.
Cas particulier : le rôle de l’assurance-vie dans la succession
L’assurance-vie occupe une place à part dans la fiscalité successorale.
Contrairement aux autres biens transmis, le capital versé à un bénéficiaire désigné ne fait pas partie de la succession, sauf cas particuliers.
Cette distinction en fait un outil privilégié de transmission, apprécié pour sa flexibilité et son cadre fiscal avantageux.
Selon les textes en vigueur (articles 757 B et 990 I du Code général des impôts), les primes versées avant ou après 70 ans ne sont pas soumises au même régime.
Sans entrer dans le détail des montants, il est essentiel de retenir que l’assurance-vie permet souvent de transmettre un capital en dehors des règles successorales classiques, tout en bénéficiant d’abattements spécifiques.
Le simulateur Nalo intègre cette singularité : il distingue automatiquement les capitaux soumis à la fiscalité de l’assurance-vie des autres actifs du patrimoine.
Cela permet d’obtenir une vision réaliste de la part taxable et de la part exonérée, et d’envisager une répartition optimale entre héritiers.
Autres dispositifs pour réduire vos droits de succession
Anticiper sa succession, c’est aussi agir avant la transmission.
Plusieurs leviers légaux permettent d’alléger la fiscalité successorale, souvent de manière significative.
1. Les donations
Effectuer une donation de son vivant permet de transmettre une partie de son patrimoine à ses proches tout en profitant d’abattements renouvelables tous les quinze ans.
Cela permet de diminuer la base imposable de la succession future, tout en préparant progressivement la répartition du patrimoine familial.
Ces règles sont encadrées par les articles du Code général des impôts et détaillées sur service-public.fr.
2. La détention via une société civile (SCI)
Créer une SCI (Société Civile Immobilière) peut faciliter la transmission d’un patrimoine immobilier.
Elle permet de transmettre des parts sociales plutôt que des biens indivis, ce qui offre davantage de flexibilité et, dans certains cas, un avantage fiscal.
La SCI est particulièrement adaptée lorsque plusieurs héritiers sont concernés ou lorsque l’on souhaite garder le contrôle de la gestion du bien.
3. Le démembrement de propriété
Transmettre la nue-propriété d’un bien tout en conservant l’usufruit est une autre stratégie fréquente.
Elle permet d’anticiper la transmission tout en continuant à profiter du bien ou de percevoir les revenus générés.
À terme, les héritiers récupèrent la pleine propriété sans droits supplémentaires à payer au décès.
Le simulateur Nalo ne se limite pas à un calcul brut : il sensibilise également aux moyens d’optimiser sa succession tout en respectant le cadre légal et fiscal.
Limites du simulateur et pourquoi consulter un expert
Même s’il repose sur les barèmes officiels, le simulateur Nalo fournit un résultat indicatif.
Il ne prend pas en compte certains cas particuliers, comme :
- les successions internationales ;
- les biens professionnels ;
- les clauses bénéficiaires complexes d’assurance-vie ;
- les régimes matrimoniaux spécifiques.
Un conseiller patrimonial peut analyser l’ensemble de votre situation : composition du patrimoine, objectifs familiaux, besoins futurs, volonté de transmission.
Cet accompagnement personnalisé permet d’aller au-delà de la simple estimation et de bâtir une stratégie cohérente avec vos priorités : protéger votre conjoint, aider vos enfants, préparer votre retraite ou encore financer un projet immobilier.
Passez à l’action
Estimer ses droits de succession est une première étape essentielle.
Pour aller plus loin et faire de votre transmission un véritable projet familial, prenez rendez-vous avec un conseiller Nalo.
Vous bénéficierez d’un accompagnement personnalisé, d’une analyse de votre situation et de recommandations adaptées à vos objectifs patrimoniaux.
Parce qu’une succession bien préparée, c’est avant tout une sérénité pour vous et vos proches.
FAQ
Comment fonctionne le barème des droits de succession ?
En 3 étapes :
- Identifier le lien de parenté → il détermine l’abattement applicable (montant déduit avant impôt).
- Calculer l’assiette taxable → patrimoine transmis – abattements (en tenant compte, le cas échéant, des donations des 15 dernières années qui s’additionnent).
- Appliquer le barème progressif → la part taxable est fractionnée par tranches ; chaque tranche est imposée à son taux. Le total = somme des tranches.
Règle générale : plus le lien de parenté est proche, plus l’abattement est élevé et le barème avantageux.
À quel âge faut-il commencer à s’intéresser à ces questions ?
Le maître-mot : anticiper.
- Donations : les abattements se renouvellent tous les 15 ans (les donations faites « sortent du calcul » au bout de 15 ans). Commencer vers 50 ans permet en pratique de mobiliser deux fois les abattements avant un âge avancé (ex. à 50 puis à 65 ans).
- Assurance-vie : deadline dès 70 ans pour optimiser les versements. Avant 70 ans, le régime (art. 990 I) est nettement plus favorable ; après 70 ans, les versements relèvent d’un cadre moins avantageux (art. 757 B).
En résumé : pour optimiser sa succession, on s’y prend tôt — idéalement dès 50 ans — afin d’enchaîner des donations espacées de 15 ans et de réaliser les versements d’assurance-vie avant 70 ans.
Quelle différence entre frais et droits de succession ?
Les droits de succession désignent l’impôt prélevé par l’État sur les biens transmis.
Les frais de succession, eux, incluent d’autres coûts annexes : honoraires du notaire, formalités administratives, etc.
Le simulateur Nalo se concentre sur les droits fiscaux, c’est-à-dire la part revenant à l’administration.
L’assurance-vie est-elle soumise aux droits de succession ?
Pas dans la majorité des cas. Le capital transmis via un contrat d’assurance-vie bénéficie d’un régime fiscal distinct. Certaines primes peuvent être partiellement exonérées selon l’âge du souscripteur et la date des versements. Ces règles sont précisées aux articles 757 B et 990 I du Code général des impôts.


